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Nous sommes le 4 mars 2018 et cette année, nous allons inaugurer deux ponts :
1/ INVENTY - Pont d’ENGAGEMENT offert par la société INVENTY
2/ Pont JEAN MARC, réalisé avec les dons recueillis à l’occasion des obsèques de mon mari et d’autres.
Nous sommes un groupe de 12 personnes, nous avons déjà fait découvrir le Nord et le Centre à nos amis : la famille du donateur du premier pont, ma fille et leurs amis. Tous sont enchantés mais avec un peu de crainte de participer à cette action sortant de l’ordinaire.
Notre avons inversé la date de nos visites et choisi un dimanche, car le Vénérable constructeur désirait qu’un maximum d’enfants des villages puissent participer.
Nous sommes donc arrivés directement de Saigon, la dernière partie du trajet est assez difficile, les petites routes sont souvent défoncées et les joints de dilatation des ponts successifs sont assez hauts, nous n’avons pu rouler qu’à 30 km/h de moyenne.
De ce fait, nous avons du prendre notre déjeuner offert par la pagode à la hâte à cause des horaires de la marée.
Nous sommes tous installés dans une barque à moteur sous un fort soleil, la marée descend. Il nous faut 45 minutes pour arriver à notre première destination. En raison des basses eaux, l’accès à la rive est à un mètre de hauteur ! Des villageois nous aident à débarquer.
Imaginez la difficulté d’y parvenir pour la compagne du responsable de la société marraine du pont et ma fille, ainsi que moi-même, toutes trois vêtues de nos longues robes traditionnelles, cousues main et fabriquées pour l’occasion à Hội An !
Les habits du parrain du pont et de ma fille, sont aux couleurs de la société qu’ils représentent… La classe !!!
Nous sommes accueillis par tout le village, sur des tables nous sont offerts des noix de coco fraiches, des clémentines et des gâteaux fabriqués maison… Il y a même des enfants en uniforme, avec des tambours, pour ouvrir la première traversée du pont.
Le Vénérable nous présente au chef du village qui nous remercie d’un discours. David, le responsable de la société marraine du pont et ma fille, Isabelle, lui répondent.
Ensuite, c’est la distribution des cadeaux pour les enfants du village, des cartables - sacs à dos et des petites enveloppes.
C’est une très grande émotion pour tous.
Le temps presse, le deuxième pont est encore loin, nous sommes à regret obligés de repartir.
Pour arriver à celui-ci, nous réembarquons et la marée a encore baissée !!!
40 minutes de navigation et encore 10 minutes de scooter sur des petits sentiers de terre entre les champs sont nécessaires. A certains endroits les passages de petits rus se font sur de simples morceaux de bois posés. Pour l’un, David a du descendre pour pousser le scooter !
Les villageois nous informent que les matériaux nécessaires à la construction du pont ont été transportés par le même moyen. Impossible d’opérer d’une autre façon dans ce coin isolé et le Vénérable constructeur avait bien insisté sur ce point en acceptant la demande des villageois.
L’édification de ce pont était cruciale, trop d’accidents et trop de noyades étaient survenus. Nous avons vu le pont de singe, leur ancien moyen de passage, qui n’est pas encore détruit.
L’inauguration se fait avec des petits discours de chaque cotés du pont, les enfants reçoivent leurs cadeaux et les villageois nous offrent, pour chacun de nous, un grand sac d’orange et de goyave, les fruits de leur jardin.
Le temps presse, nous devons les quitter car nous allons rencontrer les mêmes difficultés pour le retour et nous devons nous enregistrer au plus tôt à l’hôtel à Can Tho pour la nuit.
Il faut venir sur place pour ressentir leurs émotions et leur reconnaissance…
Comment vous décrire ceci ?
Toute l’équipe est repartie le cœur lourd de ce passage trop court, réalisant que ce jour avait été une leçon de vie.
Combien de personnes doivent-elles subir encore et encore tous ces dangers quotidiens alors que nous sommes dans notre confort, notre cocon lointain ?
Ils sont tous là, avec leurs regards et leurs sourires reconnaissants, c’est la preuve vivante que notre action atteint son but.
A nous maintenant de continuer pour alléger cette souffrance.
Je compte sur vous. Il y a un dicton :
Un seul arbre ne verdit pas la montagne.
Plusieurs arbres garnissent le tout.
Que notre action puisse continuer et apporter le mérite à tous.
La Présidente Mme PHAM THI
Année 2016
Sóc Trăng (Viet Nam), le 16 Avril 2016
Bonjour à nos bienfaitrices et bienfaiteurs,
Nous sommes arrivés à Sóc Trăng depuis hier soir.
La pagode s’est embellie depuis l’année dernière. Le Vénérable responsable et quelques fidèles ont sculpté eux-mêmes, pendant un an, une statue du Bouddha Sakyamuni assis, haute de 20 mètres. Son assise, le lotus, a 11 mètres de diamètre. C’est la plus grande statue de la région.
Le Vénérable a profité de la nouvelle année lunaire pour organiser la cérémonie de la bénédiction de la statue, 1000 personnes y assistent, sans compter les invités d’honneurs. Notre Vice-Présidente, ma sœur KIM CHI, et mon frère sont aussi invités.
Ma venue, si tôt au Viet Nam, n’était pas prévue mais un évènement familial m’y a obligé. Notre pont étant achevé à 90%, le Vénérable constructeur a profité de notre présence pour l’inaugurer
Il est 7h du matin, il fait très chaud. Ici, les habitants attendent la pluie avec impatience car les cours d’eau sont à sec, une catastrophe imminente !
En voici la raison : depuis un an, la Chine construit un barrage en amont du Mékong, à l’endroit exact où il se sépare en deux branches.
Le Mékong nourrit le Cambodge et le Viet Nam. Cette construction a coupé cette source nourricière. C’est la première fois que je vois le niveau de l’eau si bas !!!
Par manque d’arrivée d’eau douce, la mer envahit les bras du fleuve et le mélange d’eau douce et d’eau salée n’est plus au pourcentage convenable. Les peuples des deux pays ont perdu beaucoup de récoltes : les légumes, les fruits, certains poissons aussi…
Les villageois ne comptent plus que sur la pluie pour rétablir la qualité de l’eau.
Notre Vice-Présidente me dit qu’une alerte internationale a été lancée, mais la Chine fait la sourde oreille et la construction se poursuit…
Quelle catastrophe !!! Encore un malheur de plus pour nos deux peuples, Cambodgien et Vietnamien.
Revenons à notre sujet : pas d’eau, pas de courant, donc pas de barque… Nous sommes obligés de tenter un autre moyen transport : le scooter. Nous sommes huit, chacun sur un scooter « xe ôm ». Depuis longtemps le scooter « xe ôm » est un moyen de transport économique au Viet Nam.
Nous avons acheté des bonbons pour les enfants. Les cartables et les fournitures scolaires sont achetés directement par le Vénérable avec notre accord sur la somme dépensée
A savoir : 40 enfants recevront chacun un cartable, des fournitures scolaires, un carton de soupe instantanée et une enveloppe de 40.000 đồng.
Cette somme est vraiment la bienvenue car nous sommes dans un village très pauvre.
Malgré cela, en remerciement, les villageois nous offrent des produits de leur jardin : 60 noix de cocos fraiches, 20 kgs de mangues, 40 kgs de goyaves, 10 kgs de longanes, 3 jacquiers (chacun pèse 3 kgs !!!)… Ils sont venus déposer tout cela à la pagode dans l’après midi, car nous n’aurions jamais pu les emmener sur nos scooters !!! Encore heureux que nous ayons loué un véhicule de 16 places pour tout emporter à Saïgon !
Dans notre quartier de Saïgon, nos voisins vont être très heureux d’en profiter y compris la pagode en face de notre maison.
Et voilà encore un pont construit dans le delta !
Combien de dangers quotidiennement évités… Vous résidez si loin mais vous l’avez compris car la preuve est là : notre « PONT DU CŒUR » est désormais gravé dans nos cœurs et aussi dans celui des villageois.
Tout en espérant que notre action continue encore et encore… Je vous dis donc à l’année prochaine.
Avec notre infini remerciement accompagné par les sourires de nos écoliers.
Mme PHAM THI
Présidente de l’Association
Année 2015
Comme chaque année depuis 2012, plusieurs membres de notre association, accompagnés de la Présidente, se rendent au Viêt-Nam à leurs propres frais, pour rencontrer les populations du delta du Mékong et participer à l’inauguration officielle des ponts…
Nous sommes le 8 Mai 2015… Il est 6 heures du matin, et au moment de notre départ pour les villages que borde le Mékong, le soleil est déjà assez haut dans le ciel.
Nous prévoyons 1 heure de route sur l’eau jusqu’au premier village. Et nous voilà partis sur une barque à moteur. Chacun se protège du soleil comme il le peut, chapeaux ou parapluies… lesquels, au Viêt-Nam, protègent du soleil autant que de la pluie !
Le voyage est agréable. Un petit vent nous accompagne. Au bord de l’eau, les gens se lavent, font la cuisine ou la lessive… Eh oui, on fait tout sur le Mékong !
Le premier pont à inaugurer est le « Pont Plastifrance » du nom de l’entreprise de Géménos (Bouches-du-Rhône) qui a intégralement subventionné la construction de ce pont.
Le responsable concepteur, le Vénérable Thich Minh Hanh de la Pagode Thien Thoi à Soc Trang, a tenu à baptiser ainsi ce pont et à faire figurer le logo de la société Plastifrance sur le tableau souvenir.
Tous les villageois, ainsi que les notables de la région, sont là pour nous accueillir, avec des noix-de-coco fraîches pour nous rafraîchir. C’est réellement pour nous un grand honneur.
Parmi les parfums et les couleurs de ce village du Viêt-Nam profond que nous découvrons, notre visite est rythmée par les centaines de sourires de ces personnes dont la difficulté de vivre au quotidien n’entame ni la joie de recevoir ni la bonne humeur !
La bande est coupée, le pont est inauguré, le voile qui cachait le nom du pont est enlevé… Tous le monde, français et vietnamiens, traverse pour la première fois ce pont, accompagné, comme il est de tradition par la prière du Vénérable.
Plus tard, nous avons distribué des cadeaux aux enfants présents : des sacs-à-dos pour aller à l’école, contenant des cahiers et des crayons.
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Au Viêt-Nam, le coût de la vie a beaucoup augmenté, le prix des matériaux de construction également. Dans le même temps la valeur de l’Euro a baissé… Aujourd’hui, pour construire un pont, il faut environ 50 millions de Dôngs (la monnaie du Viêt-Nam), soit environ 2 300 Euros, somme considérable pour ces villages.
Vers midi, nous sommes retournés à la Pagode Thien Thoi où nous logions. Nous avons pris un peu de repos, avant de repartir le lendemain pour Saïgon, 230 kms et 5 heures de route avec des secousses à sauter au plafond du mini-bus !!!
De ce voyage mémorable, nous gardons au fond du cœur le souvenir des sourires et des regards pleins de reconnaissance des villageois du Mékong… Il faut avoir été sur place pour comprendre combien pour eux notre geste est incommensurable…
Année 2014
Depuis 2012, grâce à la générosité de nombreux donateurs, notre Association a pu construire 3 ponts dans le delta du Mékong autour de la commune de Soc Trang :
- 1er pont : le « Pont de France »,
- 2ème pont : le « Pont de l’Amitié »,
- 3ème pont : le « Pont Tu An-Hoa Nghiêm » (financé par les deux Pagodes de Grenoble et de Bonneville).
Si vous avez vu les photos des enfants de ces villages dans nos récits des 2 années précédentes, peut-être avez-vous ressenti un pincement au cœur… Pour nous tous en France ce n’est peut-être pas grand-chose, mais pour eux c’est immense ! Toutes ces personnes, enfants, adultes et personnes âgées traversent maintenant chaque jour sans risque les dangereux bras d’eau du Mékong.
Dans cette époque incertaine et troublée, ce que nous faisons a une réelle utilité et laisse une trace durable. C’est pourquoi nous avons été nombreux à vouloir continuer cette œuvre dès que possible…. Et nous avons pu récolter la somme nécessaire à la construction d’un 4ème pont !
Cette année 2014, le mauvais temps s’est abattu durement sur le Viet-Nam et notre 4ème pont n’a pas pu être construit avant le printemps, date habituelle de nos voyages.
Mais il est maintenant opérationnel et il s’appelle le « Pont de la Fraternité ».
L’inauguration a été repoussée et notre Présidente, Liên Huong Pham Thi n’a pu y assister, car elle a dû rentrer en France. Seules deux personnes ont pu être sur place et représenter notre Association pour cette occasion : sa maman et sa sœur Kim Chi Pham Thi, Vice-Présidente et représentante de notre Association au Viêt-Nam.
Et de la même manière qu’en 2013 les fournitures scolaires achetées ont été offertes aux enfants du village.
Dans cette période incertaine et pleine de difficultés partout dans le monde, nous avons pensé à ce peuple si loin de la France et nos pensées ont abouti à une action « constructive »… la construction de ce 4ème pont !...
Chaque passant sur ce nouveau pont nous envoie son sourire et son remerciement, car à chaque pas, jeunes ou vieux, ils peuvent désormais éviter des milliers de dangers…
Par la voie de ce récit tous nous font part de leur gratitude.
Année 2013
En arrivant au Viet-Nam, venant des hauts plateaux himalayens, le Mékong se divise en 2 branches, le Tiên Giang (« Fleuve à l’avant ») et le Hâu Giang (« Fleuve à l’arrière ») qui se subdivisent eux-mêmes en milliers de bras d’eau. Depuis très longtemps les navettes fluviales (bacs) sont des moyens de passage sur les routes principales pour les voitures, camions, motos, vélos ou piétons.
Mais des ponts sont également nécessaires pour relier entre eux les plus petits villages. Ce sont des ponts de bambous appelés « ponts de singes ». Des accidents surviennent souvent à la saison des pluies, car ces ponts sont très glissants. Les enfants allant à l’école, les personnes âgées et les malades sont les principales victimes.
Le Mékong se jette dans la mer de Chine en 9 endroits, d’où son nom vietnamien de Sông Cuu Long, ce qui veut dire « Le Fleuve des 9 dragons » Pourquoi dragons ? Car à la saison des pluies rien ne peut les arrêter. Cependant, ces crues apportent aussi la bonne terre fertile, qui fait pousser les fruits et irriguent les rizières.
En 2000, pour remplacer les bacs qui relient les villes sur les deux plus grands bras du Mékong, l’Australie avait construit le « Pont My Thuan » et en 2010, le Japon le « Pont Cân Tho » (dont le chantier a subi un grave accident, des centaines de personnes sont tombées à l’eau avec du matériel).
En 2012, une campagne de dons auprès des sympathisants de notre Association a permis le remplacement dans le delta du Mékong de plusieurs « ponts de singes » par la construction d’un pont en béton, permettant de relier des villages entre eux et ainsi d’améliorer grandement les conditions de vie de centaines d’habitants. Ce pont a été baptisé « Pont de France ».
Cette année 2013 nous avons également pu financer la construction de 2 nouveaux ponts :
le « Pont Tu An Hoa Nghiem » (financé par les dons des fidèles de deux Pagodes à Grenoble et à Bonneville) et le « Pont de l’Amitié » (financé directement par les dons de nos sympathisants).
Comme d’habitude, notre voyage est entièrement pris en charge directement par chacun de nous, sans aucune aide de notre Association et le 23 avril 2013, nous voici arrivés à la Pagode Thiên Thoi qui se trouve dans le hameau de Kê Sach, dans la commune de Soc Trang, à 230 kms au sud-ouest de Saïgon (Ho Chi Minh Ville)…
Le responsable de cette Pagode, le Vénérable Thich Minh Hanh, est notre correspondant dans cette partie du Viet Nam. C’est également le concepteur de nos ponts. Depuis l’année 2000, il a participé à la construction de 60 ponts dans le delta du Mékong, dont 6 depuis début 2013.
Le lendemain matin 24 avril 2013, une barque à moteur nous a emmenés à l’endroit où le « Pont Tu An Hoa Nghiem » a été construit. De nombreux villageois sont déjà présents, ainsi que les responsables du village. Le Vénérable Thich Minh Hanh a fait un petit discours de remerciement, puis notre Présidente Liên Huong Pham Thi a ajouté quelques mots en français.
Après l’ouverture du pont à la circulation, nous avons distribués des cadeaux à 80 écoliers : un ensemble nécessaire pour le travail scolaire de tous les jours comprenant un cartable/sac-à-dos, un imperméable, des cahiers et crayons ainsi que quelques bonbons.
Nous nous sommes ensuite pressés de retourner à la barque pour aller jusqu’au « Pont de l’Amitié », car la marée descend vite dans cette région, et hormis la navigation, il ne reste que la marche à pied (ou le scooter !) le long des champs, c’est assez rustique et dangereux…
L’inauguration de ce 2ème pont fut identique au 1er et prît moins de temps, les enfants ayant été tous regroupés lors de la cérémonie précédente pour la distribution des cadeaux.
Ce petit reportage nous permet de mieux comprendre l’importance de notre geste : il faut avoir été sur place pour constater l’immensité des besoins dans ce delta du Mékong…
Nous espérons bien sûr que l’année prochaine nous pourrons continuer la construction de nouveaux ponts !...
Année 2012
Plusieurs membres de notre Association, accompagnés de notre Présidente Liên Huong Pham Thi, se sont rendus à leurs propres frais au Viêt-Nam, ce pays lointain, pour rencontrer les populations du delta du Mékong et participer à l’inauguration officielle d’un pont, qui, nous l’espérons, sera le premier d’une longue série…
Ce pont a été baptisé « Pont de France ». Il a été financé intégralement par des dons de personnes en France, bouddhistes ou non-bouddhistes, qui ont été touchés au cœur par l’immense besoin des villageois qui vivent dans le delta du Mékong de construire des ponts de toutes tailles, afin d’avoir plus de facilité pour se déplacer.
L’aide que nous leur avons apportée est très précieuse, car ces populations éprouvent chaque jour des difficultés qu’en France ne pouvons pas imaginer, pour circuler de village en village, pour aller travailler, se rendre chez le médecin, et pour les enfants aller à l’école.
Le delta du Mékong est une vraie araignée avec tous ces bras d’eau… Il n’est pas facile d’y vivre. Déjà notre dynamique Présidente envisage de pérenniser ce geste l’année prochaine… Et elle espère revenir sur place pour aider à la construction et participer à l’inauguration d’un deuxième « Pont de France » !...
Comme elle le dit :
« Malgré toutes les difficultés de la vie, il nous faut espérer avoir au loin une lumière d’espoir qui nous éclaire… Etant bouddhiste, je dois comprendre et vous fait passer le message que nous pouvons toujours voir le positif dans le négatif. Ce sont les difficultés qui nous font grandir et nous donnent la force.
Les usagers du « Pont de France » dont nous avons permis la construction, nous sont reconnaissants et ils ne pourront jamais oublier notre geste… Tous ensemble, nous pouvons les aider à en construire un autre !
Au moins ceci est une aide « solide » dans tous les sens du terme et qui dure…»
Affaire à suivre…
